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Quels choix fiscaux à privilégier pour un fraiseur ?

Le tourneur-fraiseur façonne des pièces mécaniques suivant un plan technique bien précis. Il travaille sur des machines automatisées à commandes numériques. Salarié d'une entreprise industrielle de plus ou moins grande taille, il est assujetti à l'impôt sur le revenu (IR) dans la catégorie des traitements et salaires.

Quels choix fiscaux à privilégier pour un fraiseur ?

Le tourneur-fraiseur est présent dans de nombreux secteurs industriels : l'automobile, l'aéronautique, la mécanique et le ferroviaire.

Ce professionnel fabrique et transforme des pièces en métal de façon à ce qu'elles soient parfaitement lisses et capable de correspondre avec les autres pièces d'un projet mécanique.

Il se base sur les plans fournis par des entreprises clientes. 

Il opère sur des tours et des fraiseuses à commandes numériques : il détermine les paramètres de fabrication, choisit les outils et outillages adéquats et programme l'usinage de la pièce.

Il doit souvent surveiller plusieurs machines-outils qui travaillent en réseau.

Il controle également les pièces usinées et assure la maintenance de ces machines automatisées.

Salarié d'une entreprise, il est donc assujetti à l'impôt sur le revenu selon le montant du salaire et des éventuelles primes qu'il perçoit.

Il déclarera ce montant dans la catégorie des traitements et salaires.

En fonction de la distance entre son logement et son lieu de travail, il optera pour la déduction de ses frais réels ou pour l'abattement forfaitaire de 10%.

Si son entreprise propose une option d'épargne salariale, il aura tout interêt à la prendre pour bénéficier du régime fiscal avantageux.





 

 

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